Vive le vieux, je relaie...
Vous l'avez compris, j'adore traîner sur internet, d'ailleurs, je suis sûre que je ne suis pas la seule... 
Au fil du hasard, je découvre des jeux, des réalisations magnifiques, des idées géniales, une convivialité chaleureuse... et dans la série, voici le blog suivant : link, comme en autre défaut, je suis très curieuse, je ne me contente que rarement de la première page, je vais plus loin et là, paf, je tombe sur cet article, que je reproduis intégralement, j'espère qu'elle ne m'en voudra pas, je le trouve si justifié...
Au fil du hasard, je découvre des jeux, des réalisations magnifiques, des idées géniales, une convivialité chaleureuse... et dans la série, voici le blog suivant : link, comme en autre défaut, je suis très curieuse, je ne me contente que rarement de la première page, je vais plus loin
et là, paf, je tombe sur cet article, que je reproduis intégralement, j'espère qu'elle ne m'en voudra pas, je le trouve si justifié...jeudi 4 février 2010
Attention, ceci est un message engagé. Oui, je lis tellement de revues militantes que mon sens de la contestation et de la lutte s'en trouve raffermi. Aujourd'hui, je me révolte contre une pub radio, entendue ces derniers temps sur une radio de service public que je ne nommerai pas. C'est une pub vantant les mérites du changement dans le domaine des arts de la table.
Voici le descriptif de la campagne, lu sur le site de la confédération des arts de la table:
L'objectif de cette campagne est de créer un "électrochoc" en se moquant avec humour des personnes qui ne changent jamais de vaisselle alors qu'il ne leur viendrait pas à l'idée de ne pas renouveler, en fonction des tendances du moment, leurs vêtements ni les accessoires de mode qu'ils utilisent (sacs, foulards, chaussures...)!
Le message, en substance, était celui-ci: un garçon demandait à sa mère si les assiettes qu'elle utilisait pour faire manger sa famille ou recevoir ses amis étaient bien les mêmes que celles dans lesquelles sa grand-mère disparue mangeait elle aussi, avant de mourir. Ce à quoi la mère, visiblement gênée, répondait oui. Le slogan arrivait ensuite:
"Les arts de la table, c'est comme la mode, c'est bien quand ça change".
Mon sang ne fit qu'un tour! Comment pouvait-on proférer de telles inepties à l'heure du petit déjeuner! Fallait-il donc détruire tout ce qui avait appartenu à nos aïeux, sous prétexte que c'était vieux et démodé! Détruisons les services en porcelaine, brûlons les dentelles anciennes, remplissons nos cheminées des meubles de nos grands-parents! Pourquoi ne pas brûler les tableaux dans les musées? N'ont-ils pas été regardés par les yeux de gens qui sont morts depuis? Et les livres anciens, touchés par des doigts de gens disparus? Non, c'était insupportable pour le défenseur que je suis de la vaisselle de mamie, des meubles en bois de seconde main, et des draps anciens retrouvés dans des granges abandonnées.
Pour me venger, je vous montrerai ma vieille vaisselle, mon linge ancien et mes meubles vieillots, na!
Et vous, vous aimez les vieilleries? Si oui, montrez-les!
Ce message m'a particulièrement touchée... j'ai donc décidé de le relayer, la prochaine étape étant de vous montrer à mon tour mes "vieilleries"...car c'est très émouvant de faire revivre ce qui vient de notre passé...
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Au passage, mais bon, là c'est mon sang de "vieille" maman qui ne fait qu'un tour, ras-le-bol, mais alors ras-le-bol de ces pubs où les parents (et surtout les mères !!) sont pris pour de vieux débiles qui ont peur de leurs enfants... non mais...
Et vous, vous aimez les vieilleries? Si oui, montrez-les!
Ce message m'a particulièrement touchée... j'ai donc décidé de le relayer, la prochaine étape étant de vous montrer à mon tour mes "vieilleries"...car c'est très émouvant de faire revivre ce qui vient de notre passé...
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Au passage, mais bon, là c'est mon sang de "vieille" maman qui ne fait qu'un tour, ras-le-bol, mais alors ras-le-bol de ces pubs où les parents (et surtout les mères !!) sont pris pour de vieux débiles qui ont peur de leurs enfants... non mais...